C’est le débat sur la déchéance de nationalité, à la suite des attentats de novembre 2015, qui a décidé Amellal à reprendre la plume dix ans après son premier roman, Cités à comparaître (2006). « Cette proposition de François Hollande a été pour moi le symptôme de la banalisation du populisme d’extrême droite, révélateur de ce perpétuel recul des lignes morales qui en dit long sur le délitement de la gauche de gouvernement », explique-t-il.
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