Dans « Bleu Blanc Noir », Karim Amellal imagine la victoire d’une candidate de l’extrême droite à la présidentielle. Dans un futur lointain ? Non, en 2017.
Martin Luxembourg est président de la République. Mireille Le Faecq, elle, dirige le Parti national, tandis qu’Alban Péjut est maire de Bordeaux et François Cramoisi, ancien chef de l’État. Toute ressemblance avec des personnes existantes est purement volontaire dans le dernier roman de Karim Amellal, Bleu Blanc Noir. Sauf qu’il se passe en mai 2017, autour de la présidentielle française, et que le clone de Marine Le Pen gagne l’élection au second tour.