pas un match, car on n’arrête pas un business ! Les journalistes me demandaient : « Que faut-il faire ? » On demande toujours aux victimes de trouver la solution ! Je leur conseillais de questionner les joueurs blancs : pourquoi ils ne quittaient pas le terrain en signe de soutien, pour refuser le racisme ? Cela dit, il y a toujours des gens pour dénoncer les injustices. Les sociétés changent : il y a moins de racisme, de sexisme, d’homophobie qu’avant. Mais il faut continuer d’alerter là-dessus.
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