Comme l’indique La Stampa, l’affaire a suscité la colère de citoyens et de plusieurs représentants politiques, ainsi que de l’ANPI, Association nationale des résistants italiens, qui a demandé que la licence d’exploitation soit retirée à Gianni Scarpa. Après la descente de police, le préfet de Venise a ordonné “le retrait immédiat de toute référence au fascisme”.
Publié le 10/07/2017 dans Courrier International – La Repubblica