C’est d’ailleurs ce qu’a déclaré, au quotidien Le Devoir, un des chercheurs, René Hurlemann – article auquel répondait le chroniqueur du Journal de Montréal.
Cette « drogue » ne marcherait pas… selon cette même étude
Pourrait-on « vacciner » des gens contre la xénophobie en administrant de l’ocytocine, comme l’affirme le chroniqueur québécois?
En gros, non – et ce, selon cette même étude.
Les doses d’ocytocine n’ont eu aucun effet sur la générosité des personnes se décrivant comme xénophobes. Ce n’est donc pas une solution magique, comme le laissent entendre certains commentateurs.