« «Au début, il y avait les “hoax” qui circulaient par mail puis sur des blogs. Avec l’avènement des réseaux sociaux, les “fake news” ont atteint en quelque sorte leur paroxysme», rappelle Guillaume Brossard. Aux yeux de Pascal Froissart, maître de conférences à l’université de Paris VIII, cette tradition du faux remonte beaucoup plus loin évoquant le cas des Protocoles des sages de Sion, ouvrage reconnu comme un faux qui reste encore aujourd’hui très répandu dans les milieux antisémites. «Ce qui est nouveau, selon moi, c’est la manière décomplexée dont ces informations fausses sont reprises dans l’arène politique», constate le chercheur spécialisé dans la rumeur », indique Le Figaro dans un article consacré au sujet.
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