Selon des militants de l’extrême droite, plusieurs centaines de comptes pro-FN auraient été désactivés ou bloqués. Au sein de la fachosphère, qui se déchaîne sur Twitter, on dénonce la « dictature socialiste ». En réalité, les autorités françaises n’ont bien sûr rien à voir dans cette histoire. Le réseau social, qui est une entreprise privée, agit conformément à ses Conditions générales d’utilisation qui lui permet de supprimer n’importe quelle page.
0