Il faut dire, explique le chercheur, que la politique de Twitter à l’égard des comptes djihadistes a sérieusement évolué depuis 2014. A l’époque, il fallait carrément revendiquer un attentat via un tweet pour se voir supprimer son compte. Depuis, Twitter a réagi et supprimer régulièrement des milliers de comptes « à risque ».
Telegram constitue-t-il une véritable alternative à Twitter ? Pas sûr. Car sur cette messagerie, les djihadistes « ne touchent plus le même public, mais un cercle d’initiés, de djihadistes convaincus ».