« Pour la veille sur l’actualité djihadiste, Twitter ne sert plus à rien, que ce soit pour les francophones ou les arabophones », souligne Romain Caillet. Pourtant, précise-t-il, « cela ne veut pas dire que les sympathisants djihadistes ne reviendront pas. Ils sont déjà brièvement revenus sur Facebook il y a six mois, après l’avoir déserté, et y ont même été davantage présents que sur Twitter. Mais actuellement, la dynamique est plutôt d’abandonner Twitter ».
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