S.H. : Racontez la genèse de cette initiative ? (quels constats avez-vous fait)
R. T. : Le constat était que nous sommes nombreux à soutenir ou à faire vivre ce champ d’action du dialogue interreligieux, interconvictionnel, interculturel, etc. mais que nous faisons trop peu et de manière trop isolée par rapport aux enjeux. Les organisations en Europe qui partagent la même mission de rapprochement par le dialogue ne se connaissent pas ou simplement ne trouvent pas les moyens de travailler ensemble.