Après une circulaire de 2008 allant dans ce sens, les parlementaires ont franchi un pas de plus l’hiver dernier en inscrivant la date dans un texte législatif. « C’est un acquis extrêmement important pour les descendants d’esclaves, se félicite Serge Romana, président de CM98. Des hommes et des femmes sont désignés comme des victimes et le titre même de victimes de l’esclavage est introduit dans la loi. C’est une réparation symbolique. »
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