Une récente étude réalisée par l’IFOP montre que, pour près de 30% des Français, la violence est le fruit du chômage de masse que subissent nos jeunes. Dans certains quartiers, plus d’un sur deux reste sur le bord de la route. Cela n’est pas acceptable pour le vivre ensemble républicain et cela s’avère être extrêmement coûteux pour la collectivité. Pourtant, 74% des Français considèrent ces territoires comme des viviers regorgeant de talents dont le pays aurait tort de continuer de se priver. Il faut donc mettre fin à cette vision humiliante et fausse de quartiers désocialisés, en rupture avec notre société. Les quartiers constituent une formidable réserve de créativité pour notre pays dont nous avons tous à apprendre.
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