Attentat du 14-Juillet à Nice : le message d’espoir de la fille d’une victime

« J’agis comme si maman était toujours là »

Mais le deuil est loin d’être terminé. « Pour mon père, c’est dur, raconte-t-elle. Je l’ai appelé le 16 juin car il avait oublié de me fêter mon anniversaire. Quand je lui ai demandé quel jour on était, il m’a répondu : ‘On est le 16, ça fait 11 mois et 2 jours que ta mère est partie…' » De son côté, elle avoue ne pas faire mieux : « J’agis comme si maman était toujours là, et que je cherchais à la défendre ».