Les migrants sont donc plus vulnérables : ils ne peuvent pas porter plainte lorsqu’ils subissent des violences ou des agressions, sans prendre le risque d’être poursuivis sous le chef d’inculpation « d’immigration clandestine ». Par ailleurs, l’Algérie ne possède pas de législation nationale concernant le statut des réfugiés et des demandeurs d’asile.