Mais pas de la façon dont Sawsan Chebli, du parti social-démocrate, le réclame: en obligeant chaque migrant à visiter un mémorial d’un camp de concentration.
On ne peut pas extirper l’antisémitisme avec un programme obligatoire. On doit comprendre la dynamique qui y mène.
Les réfugiés doivent avoir la possibilité de se remettre de leurs terreurs et des attaques de l’extrême-droite sur leurs hébergements avant d’être confrontés à la machine de la terreur nazie.